Je viens de terminer Lucky Seven, un drama presque tout neuf puisque diffusé l’année dernière. Parmi les acteurs principaux, on retrouve notamment Jun Mastumoto et Eita (déjà aperçu dans Last Friend).

A noter que c’est le premier drama que j’adapte au sein de la team M-Alice (épisodes 8 à 10) !

Bienvenue à Lucky Seven !

Un jour, Shuntaro Tokita (Jun Mastumoto) a la désagréable surprise de découvrir qu’il se fait filer par un détective alors qu’il fréquente une femme mariée. En poursuivant l’homme, il parvient à le retrouver sur son lieu de travail : l’agence Lucky Seven. Impressionnée par sa facilité à avoir retrouvé l’un de ses agents, la directrice Toko Fujisaki lui propose de rejoindre son équipe. Shuntaro, au chômage et désœuvré, accepte sa proposition. Son intelligence et ses capacités au combat permettent à ce grand dragueur de s’intégrer aisément dans son nouveau job.

Il apprend son métier sur le tas, accompagné de la jeune et dynamique Asuka, de la timide Mei, de l’autoritaire mais maladroit Junpei, de l’insondable Nitta (Eita), du gentil mais expérimenté Tsukushi et de la jolie directrice Toko. Ensemble, ils viennent en aide à leurs clients pour des problèmes variés : personnes disparues, chantage, manipulation… Rien ne leur résiste.  Mais les affaires de l’agence Lucky Seven ont-elles vraiment toutes été résolues ? 

Un drama à l’intérêt… progressif

Dans un premier temps, j’ai été assez divisée sur ce Lucky Seven. Le reproche que je ferais sur les premiers épisodes est le même que celui que j’avais formulé pour Monsters : cela manque un peu de fond. On n’apprend assez peu de choses sur les personnages et c’est dommage, d’autant plus que la première partie du drama n’a pas de fil directeur. Les affaires s’enchaînent sans qu’il y ait vraiment un lien entre elles.

Mais peu à peu, on s’attache à tous ces gens et on commence à apprécier leurs bons comme leurs mauvais côtés. Le personnage de Shuntaro est finalement celui avec qui j’ai eu le plus de mal d’accrocher. Son côté « trop parfait », toujours où il faut quand il faut, a eu tendance à m’agacer dans les premiers épisodes.

En définitive, Lucky Seven est un drama sympathique. Certes, on n’aura pas forcément envie de le dévorer d’une traite pour connaître l’origine des cachotteries de Toko et Tsukushi et obtenir le fin mot de l’histoire. D’autant plus que cette intrigue n’apparaît qu’au bout de quelques épisodes. Il n’empêche qu’on a là une série agréable aux personnages charismatiques, idéale si l’on a envie de passer un bon moment sans se prendre la tête.

• Année : 2012
• Ma note : 7/10
• Format : 10 épisodes de 45 minutes