Décidément, j’enchaîne les articles ciné en ce moment ! Cette fois, il s’agit d’un post sur le film phare du moment, j’ai nommé 2012, vu hier dans une salle comble…
Après Independance Day et Le Jour d’Après, Roland Emmerich remet le couvert avec un film catastrophe qui promet du beau spectacle. Et rien que ça.
Le synopsis tient sur un timbre-poste : Les mayas l’ont prédit, la fin du monde est pour le 21 décembre 2012. Suite à une intense activité solaire, le magma se retrouve cette année-là juste sous la surface de la Terre. La croûte terrestre dérive, le sol s’ouvre sous les pieds des malheureux terriens que nous sommes. La planète vit ses dernières heures, tout le monde va y rester. Tous ? Non, un humain est bien décidé à lutter contre les forces de la nature et jouit d’une chance insensée tout au long de son périple. Il aurait pu mille fois y laisser sa peau, mais il va survivre à tout.
Vous m’en voulez d’avoir raconté la fin ? Peu importe, si vous comptiez aller le voir pour profiter de son scénario, vous n’avez rien compris.
2012, c’est avant tout un enchaînement d’effets spéciaux à couper le souffle pendant 2h40. Une fois que ça a commencé, ça ne s’arrête plus ! Alors oui, par moment, on rit devant les grosses ficelles du film qui font qu’on connaît la fin dès la cinquième minute. C’est gros, totalement invraisemblable, et on se dit souvent qu’ils en font vraiment trop. Et puis on découvre Miami ensevelie sous des coulées de lave, on assiste à l’éruption d’un volcan au milieu du parc naturel de Yellowstone, on s’émerveille devant ce raz-de-marée qui noie l’Everest, et on se dit que, décidément, les américains excellent vraiment dans l’art du film catastrophe.
Inutile d’en écrire des pages et des pages, cela se résume très simplement : si vous aimez en prendre plein les yeux à chaque seconde et avez le recul suffisant pour entrer dans le film sans critiquer chaque invraisemblance, n’hésitez pas et foncez voir 2012. Attention, il n’y a aucun scénario et on connaît la fin dès le début ! Mettez juste votre cerveau en pause et… admirez.
2H 40… On voit vraiment pas le temps passé ! J’ai bien aimé en tout cas :)
N’empeche les scènes avec des avions qui décollent tout piles au bon moment et ça trois fois de suite , c’est un petit peu trop abusé
Oui, je me suis fait cette réflexion un bon nombre de fois ! Voilà pourquoi j’insiste bien sur le fait qu’il faut regarder le film sans réfléchir… Sinon, on est vite agacés. :)
Ah ben enfin quelqu’un qui a aimé le film, et qui a compris qu’il ne fallait pas s’attendre à du rationnel ou à un film à double interprétation philosophique !
Franchement, si on faisait un film de fin du monde version réaliste, je pense qu’on se ferait bien ch…. Imaginez, pendant 3h, regardez la fonte des glaciers, et en guise de tsunami, le niveau de l’eau qui augmente de 3cm à Venise et Marseille, youhou !